GAUCHINHA BEM QUERER
CONJUNTO FARROUPILHA
COMPOSITOR: TITO MADI – 1957
PAÍS: BRASIL
ÁLBUM: ‘Temas gaúchos”
GÊNERO: TOADA
GRAVADORA: CONTINENTAL
ANO: 1968

Conjunto Farroupilha foi um vocal de músicas estilo regionalista, que teve entre seus fundadores Tasso Bangel. Tem várias atuações fonográficas que incluem também bossa nova e música internacional. Inicialmente chamava-se Conjunto Vocal Farroupilha.
O grupo era formado por quatro gaúchos, sendo dois deles de Porto Alegre (Danilo Vidal de Castro e Iná Bangel), um de Taquara (Tasso José Bangel, irmão de Iná) e outra de Santana do Livramento (Estrela Dalva Lopes de Castro). Completando o quinteto, o paulistano Sidney do Espírito Santo de Morais, que mais tarde ingressaria nos Três Morais e posteriormente gravaria uma série de álbuns de canções latinas, predominantemente boleros, com o pseudônimo de Santo Morales.
Rio Grande do Sul
Vou-me embora sem amor
Vou-me embora do Rio Grande
Vou tão só com minha dor
Levarei a lembrança comigo
De um amor que de olhares nasceu
De um amor que depressa floriu
Mas tão cedo morreu.
Rio Grande do Sul {
Eu um dia voltarei {
Pra rever meu rio Guaíba {
Pra rever meu bem-querer {
E depois se ela ainda quiser {bis.
Só nós dois a sonhar e a sorrir {
Rio Grande do Sul {
Vou chorar ao partir. {
Vou-me embora,
Vou-me embora, prenda minha
Gauchinha bem querer.

LE MYOSOTIS

SACHA DISTEL
ÓPERA ALEXANDRE CHARLES LECOCQDE 1866
LETTRE: CHARLES TRENET.
ALBUM: PARLONS D’AMOUR
RECORD: PHILIPS
GENRE: JAZZ
ANNÉE: 1967
 
       Alexandre Sacha Distel dit Sacha Distel, est un guitariste de jazz, compositeur et chanteur français d'origine franco-russe, né à Paris (13e arrondissement) le 29 janvier 1933 et mort au Rayol-Canadel-sur-Mer le 22 juillet 2004.
        D'origine juive russe par son père, Lionia (Léonide) (1894-1970), né à Odessa, Sacha Distel est aussi le neveu de Ray Ventura par sa mère, Andrée Ventura (1902-1965), également d'origine juive, une pianiste ancienne lauréate du Conservatoire.
         Son père arrive en France en 1917, au moment de la Révolution russe, pour y rejoindre son frère qui y possède une usine de produits chimiques. Il fait des études d'ingénieur chimiste pour travailler dans l'usine de son frère, mais celui-ci, en raison de difficultés financières part vivre au Mexique. Son père devient alors garagiste, puis commerçant en produits électro-ménagers.
       Ses parents travaillant tous les deux, il est mis au jardin d'enfants à l'âge de trois ans et entre au cours préparatoire huit jours après.
        Il apprend le piano très jeune. Bien qu'il l'admire, il ne voit alors jamais son célèbre oncle Ray Ventura, souvent parti en tournée, sauf lorsque celui-ci installe son orchestre à Paris. Sacha Distel intègre, le temps d'un dimanche après-midi, son orchestre, y jouant du saxophone miniature. Adorant chanter et en particulier imiter Maurice Chevalier, il participe à l'âge de six ans à un radio-crochet qu'il remporte.
           Sous l'Occupation, la police française arrête sa mère le 7 février 1942, non pas parce qu'elle est juive, mais pour des raisons politiques. Emprisonnée à la prison du Cherche-Midi, elle ne sera d'ailleurs pas déportée. Lors de l'arrestation de sa mère, espérant pouvoir empêcher la police d'emmener celle-ci (il a alors neuf ans), il se met à jouer du piano et à chanter. Sur l'initiative de son père, il est confié à Fernande Chaboche à La Baconnière. Il est caché comme treize autres enfants juifs par Constant Domaigné au collège de l'Immaculée-Conception, rue Crossardière à Laval, où il est enregistré sous le nom d’Alexandre Ditel, afin d'éviter la curiosité des militaires allemands présents dans les locaux du collège. Il reste au collège jusqu'à la libération de Laval au début d'août 1944 où un jour son père vient le chercher et retrouve sa mère lors de la Libération de Paris.
           Il entre au lycée Janson-de-Sailly, puis au lycée Claude-Bernard, où il est un élève moyen.
        Grâce à son oncle, Ray Ventura, Sacha Distel s’intéresse progressivement au jazz. Il assiste aux diverses répétitions et enregistrements de l'orchestre de celui-ci : Les Collégiens. En 1947, lors du tournage du film Mademoiselle s'amuse, il demande à Henri Salvador, guitariste de cet orchestre, de lui donner des leçons de guitare, ayant deviné que c'était un puissant moyen de séduction auprès des femmes. Il devient son élève tout en jouant dans les Noise Makers, l'orchestre de son lycée du 16e arrondissement de Paris (lycée Claude-Bernard), aux sonorités jazz Nouvelle-Orléans.
            Ray Ventura, qui a eu vent de la chose, propose au jeune Sacha de venir à une soirée à l’Alhambra l’hiver de 1948. Dizzy Gillespie y joue avec son orchestre. Entouré par Bruno Coquatrix, Paul Misraki, et André Hornez, Sacha découvre le bebop. Dans la salle, c'est une bataille d'Hernani.

Quand tu partis, quand
Tu levas le camp
Pour suivre les pas
De ton vieux nabab,
De peur que je ne sois triste,
Tu allas chez l' fleuriste
Quérir une fleur bleue,
Un petit bouquet d'adieu,
Bouquet d'artifice ;
Un myosotis,
En disant tout bas
Ne m'oubliez pas.

Afin d'avoir l'heure
De parler de toi,
J'appris à la fleur
Le langage françois.
Sitôt qu'elles causent
Paraît que les roses
Murmurent toujours
Trois ou quatre mots d'amour.
Les myosotis
Eux autres vous disent,
Vous disent tout bas :
Ne m'oubliez pas.

Les temps ont passé.
D'autres fiancées,
Parole d'honneur,
M'offrirent le bonheur.
Dès qu'une bergère
Me devenait chère,
Sortant de son pot
Se dressant sur ses ergots
Le myosotis
Braillait comme dix
Pour dire "Hé là-bas,
Ne m'oubliez pas."

Un jour Dieu sait quand,
Je lèverai le camp,
Je m'envolerai vers
Le ciel ou l'enfer.
Que mes légataires,
Mes testamentaires,
Aient l'extrême bonté,
Sur mon ventre de planter
Ce sera justice
Le myosotis
Qui dira tout bas :
Ne m'oubliez pas.

Si tu vis encore,
Petite pécore,
Un de ces quatre jeudis,
Viens si l'cœur t'en dit
Au dernier asile
De cet imbécile
Qui a gâché son cœur,
Au nom d'une simple fleur.
Y a neuf chances sur dix
Que le myosotis
Te dise tout bas :
Ne m'oubliez pas
.
KILLING ME SOFTLY
ROBERTA FLACK
SONGWRITERS: CHARLES FOX; NORMAN GIMBEL & LORI LIEBERMAN
COUNTRY: U.S.A.
ALBUM: KILLING ME SOFTLY
LABEL: ATLANTIC RECORDS
GENRE: BLUES
YEAR: 1973


Killing Me Softly with His Song é uma canção de 1971 composta por Charles Fox e Norman Gimbel, inspirada no poema Killing Me Softly with His Blues de Lori Lieberman, que ela escreveu depois de ver Don McLean cantando a música "Empty Chairs".
A própria Lieberman foi a primeiro a gravar a canção, em 1971, mas foi a versão de Roberta Flack, de 1973, que tornou a canção um sucesso, alcançando o número um na Billboard Hot 100 e ganhando três prêmios Grammy, incluindo o de canção do ano.
Killing Me Softly with His Song teve várias versões covers incluindo Herb Alpert, Engelbert Humperdinck, Frank Sinatra, Nils Landgren, Tori Amos, The Fugees, Alison Moyet, Eva Cassidy, Perry Como, lês Jackson 5, Mina, Anne Murray, Luther Vandross, Joe Dassin, Toni Braxton, Alicia Keys, Jaco Pastorius, Marcus Miller, Plain White T's, Young blood Brass Band, Shirley Bassey, Susan Boyle, Amaury Vassili, John Holt, Tony Rebel & Garnett Silk, Usha Uthup e Kimiko Kasai.
A canção também aparece em uma cena do filme About a Boy, interpretada pelos atores Nicholas Hoult e Hugh Grant.
NOTA: Prêmios: Grammy Award para Record of the Year, mais Indicações: MTV Europe Music Award para Melhor Canção, MTV Video Music Award: Melhor Clipe de um Grupo.
Strumming my pain with his fingers
Singing my life with his words
Killing me softly with his song
Killing me softly with his song
Telling my whole life
With his words
Killing me softly with his song

I heard he sang a good song
I heard he had a style
And so I came to see
And listen for a while

And there he was this young
Boy
A stranger to my eyes
Strumming my pain with his fingers
Singing my life with his words
Killing me softly with his song
Killing me softly with his song
Telling my whole life
With his words
Killing me softly with his song

I felt all flushed with fever
Embarrassed by the crowd
I felt he found my letter
And read each one out loud
I prayed that he would finish
But he just kept right on

Strumming my pain with his fingers
Singing my life with his words
Killing me softly with his song
Killing me softly with his song
Telling my whole life
With his words
Killing me softly with his song

He sang as if he knew me
In all my darkness fair
And then he looked right through me
As if I wasn't there
And he just kept on singing
Singing clear and strong

Strumming my pain with his fingers
Singing my life with his words
Killing me softly with his song
Killing me softly with his song
Telling my whole life
With his words
Killing me softly with his song

Ohhhhhhhhhhh oohhhhhhh...Lalalal..Ohhhh lalaaaaaaa

Strumming my pain with his fingers
Singing my life with his words
Killing me softly with his song
Killing me softly with his song
Telling my whole life
With his words
Killing me (softly)

He was strumming my pain
Yeah he was singing my life
Killing me softly with his song
Killing me softly with his song
Telling my whole life with his words
Killing me softly with his song

You'll Never Know

Johnny Mathis
SONGWRITERS: H. Warren & M. Gordon
COUNTRY: U. S. A.
ÁLBUM: The Music Of Johnny Mathis: A Personal Collection (Box Set)
LABEL: COLUMBIA RECORDS
GENRE: POP
YEAR: 1978
 
               John Royce Mathis (born September 30, 1935) is an American singer-songwriter of popular music. Starting his career with singles of standard music, he became highly popular as an album artist, with several dozen of his albums achieving gold or platinum status and 73 making the Billboard charts to date. Mathis has received the Grammy Lifetime Achievement Award and has been inducted into the Grammy Hall of Fame for three separate recordings.
Although frequently described as a romantic singer, his discography includes traditional pop, Brazilian and Spanish music, soul, rhythm and blues, show tunes, Tin Pan Alley, soft rock, blues, country music, and even a few disco songs for his album Mathis Magic in 1979. Mathis has also recorded six albums of Christmas music. In a 1968 interview, Mathis cited Lena Horne, Nat King Cole, and Bing Crosby among his musical influences.

You'll never know just how much I miss you,
You'll never know just how much I care.
And if I tried
I still couldn't hide
My love for you
You ought to know
For haven't I told you so
A million or more times?
 
You went away and my heart went with you
I speak your name in my every prayer
If there is some other way
To prove that I love you
I swear I don't know how
You'll never know if you don't know now.